Et si c’était possible de faire du neuf avec du vieux ?
Un nouveau mois : qu’en dire de neuf ?
Dans le monde du journalisme, il existe un terme pour désigner les sujets qui reviennent régulièrement : on les appelle des « marronniers ». Ainsi, puisque nous voici en mars, je pourrais vous parler des giboulées et du printemps qui pointe son nez. De cette alternance de douceur et de rigueur que les saisons nous font vivre. Sujets sur lesquels j’ai déjà écrit ! Comment faire du neuf avec ce vieux fond ?
Mais finalement, n’est-ce pas le propre de nos vies de toujours faire du neuf avec du vieux ? Car, en définitive, nous sommes toujours nous, avec notre histoire, nos gènes, nos habitudes, notre éducation. Nous sommes toujours nous avec ce vieux fond qui nous colle à la peau.
Un vieux fond, pour le pire ou pour le meilleur …
Parfois ce fond est si profond que nous l’avons oublié et que nous ne comprenons pas pourquoi nous nous sentons lourds. Parfois ce fond est tellement enterré qu’il faut un vrai travail de taupes pour le mettre à jour. Parfois on préfère juste donner un coup de badigeon sur ce vieux fond …
Ce qui compte, ce qui en tout cas est pour moi le moteur de la vie, c’est, en s’appuyant sur de vieilles histoires, en s’inspirant de témoins anciens ou actuels, en observant notre propre vie, de faire le pari que le neuf est possible malgré le vieux, malgré la répétition, malgré les lourdeurs.
Refleurir !
Alors voici la question avec laquelle j’ai envie d’ouvrir pour vous ce mois de mars : et si tout n’était pas bloqué une fois pour toutes dans nos vies par des choix anciens ? Et si, vraiment, profondément, c’était possible de faire du neuf avec du vieux ?
Découvrez toutes les possibilités pour faire du neuf et si vous avez envie de vous inscrire à ma lettre de nouvelles, c’est ici !